En dépit du moratoire international décrété en sur la chasse à la baleine, le Japon reste l'une des trois nations, avec la Norvège et l'Islande, à les tuer et à en consommer la viande, en invoquant les besoins de la recherche scientifique. En et , son quota de chasse était fixé à mille baleines dans les eaux protégées de l'Antarctique. Une exception combattue par Greenpeace qui, fidèle à sa politique de «sensibilisation créative», lance l'un de ses bateaux, «l'Esperanza», à la rencontre d'une flotte de chasse japonaise - dont un navire-usine destiné à découper et à congeler la viande - afin de ralentir, sinon d'empêcher, la tuerie...